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Ferris

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Invité Islampunk

Une pensée à mettre en lien avec les stages sur les "risques psychosociaux" qui fleurissent dans les catalogues de formation. Petite définition qui vaut ce qu'elle vaut sur wikepedia :


 


La catégorie des risques psychosociaux (RPS) relève des modes de qualification et d'évaluation des conditions de travail apparus au cours des années 2000. Ainsi, 47 % des salariés en France déclarent éprouver souvent du stress au travail (source CSA/Liaisons sociales) et un tiers des salariés présente des difficultés psychologiques (source IFAS).


L'usage de la catégorie de stress et son entrée dans la logique du risque ont pour corollaire une logique d'évaluation économique : une étude de l’université de Bourgogne évalue le coût du stress en France et parmi les chiffres avancés, le coût médical serait évalué à lui seul à 413 millions d’euros et l’absentéisme à 279 millions d’euros.


 


hé oué chers managers...


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ça me fait penser à un oral de conservateur où je me suis faite démontée parce qu'interrogée sur un texte sur la sophrologie comme réponse au stress au travail, j'avais dis que pour moi ce n'était pas une solution dans le mesure où ça ne fait que passer de la pommade sans régler le problème à la source. Je sais pas si je m'exprime bien, je veux dire que certains vont proposer au salarié stressé de faire un stage de gestion du stress alors que la vraie solution serait de supprimer l'origine du stress (qui souvent ne vient pas de la personne stressée mais de celle qui lui met la pression/qui lui pourrit la vie).


Bon je me suis pas fait démonté uniquement pour cette réponse, mais quand même j'ai l'impression que dans notre société on a vite tendance à culpabiliser le salarié stressé pour qui la seule solution va être de se mettre en arrêt maladie pour se protéger, sans avoir recours aux ressources légales pour stopper le harcèlement au travail.


Vous en connaissez beaucoup des personnes qui portent plainte pour harcèlement? moi non. Par contre je connais beaucoup de personnes qui sont harcelées moralement au travail (pas spécifiquement en bibliothèque au passage).


La médecine du travail devrait avoir un pouvoir de signalement aux autorités quand ça fait la quatrième personne qu'elles mettent en arrêt maladie à cause du même directeur...


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ça me fait penser à un oral de conservateur où je me suis faite démontée parce qu'interrogée sur un texte sur la sophrologie comme réponse au stress au travail, j'avais dis que pour moi ce n'était pas une solution dans le mesure où ça ne fait que passer de la pommade sans régler le problème à la source. Je sais pas si je m'exprime bien, je veux dire que certains vont proposer au salarié stressé de faire un stage de gestion du stress alors que la vraie solution serait de supprimer l'origine du stress (qui souvent ne vient pas de la personne stressée mais de celle qui lui met la pression/qui lui pourrit la vie).

Je vais me faire l'avocat du diable mais pour un employeur ou supérieur hiérarchique, j'imagine assez bien que supprimer le stress à la source cela coûte plus cher que de faire faire des stages de gestion du stress.... Surtout dans les cas de sous-effectifs chroniques.

 

Pour le concours de conservateur je pense que ton discours auraient pu passer mettons si tu établis la distinction entre le palliatif et le curatif mais que tu te mets à la place d'un cadre (voire du maire) et que tu reconnais que la solution curative est souvent plus difficile à trouver, plus coûteuse, etc. Ils t'ont peut être trouvée plus idéaliste que réaliste sur ce coup là (enfin, c'est comme cela que ça sonne à mes oreilles quand je lis ton texte aujourd'hui).

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Bah de toute façon ce n'est pas pour ça que j'ai eu une mauvaise note, dans tous les cas ça n'aurait pas pu passer, je n'avais rien à faire à cet oral ne voulant pas être conservateur et ne m'en sentant pas capable non plus.


Sur la question du sous-effectif le problème c'est que certaines personnes s'usent la santé à maintenir un niveau de service au top avec des moyens en baisse constante, alors que des fois la solution serait de faire le travail dans la mesure de ses possibilités quitte à ce que la qualité du service s'en ressente et que les décideurs prennent enfin la mesure des besoins humains.


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Invité Islampunk

Médecine du travail... j'en ris encore !


Jamais vu un ramassis d'inutiles pareil... exemple vécu: j'entends mal votre coeur, normal vous écoutez à droite... plusieurs cas de burn out dans un même établissement et rien, de chez rien...


 


non vraiment cette instance me fait doucement rigoler (jaune)


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  • 4 months later...

@Ferris


 


Sauf que c'est une blague que l'on trouve un peu partout sur le Web.


 


Plus connue avec dans le rôle : la maîtresse.


 


Mais ça ne gâche rien pour les zygomatiques.


  Bernard


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Oh, j'avais déjà tiqué au temps de biblio.fr, et puis surtout je l'avais déjà lu sur des sites de profs, dans des rubriques "humour".


Mais bon l'histoire est bonne.


 


Sauf qu'elle est un peu grosse quand même, vraiment un peu trop grosse. Si des bottes ne rentrent pas, un adulte normalement constitué regarde dedans.


En plus, il faut que le gosse soit vraiment petit pour ne pas mettre des "bottes" tout seul. Mon neveu à même pas trois ans les enfile déjà tout seul. A l'envers, peut-être, mais tout seul !


 


Et les réponses du môme sont d'un âge touchant plus à 7-8 ans, si ce n'est d'avantage.


Ou alors c'est un pervers précoce ! (qui se fout de la gueule des adultes, et ils le méritent bien :thumbsup: )


 


Bon, je m'en veux de t'avoir enlevé tes illusions sur ce sujet.


 


Alors, une petite astuce pour calmer les enfant en bibliothèque : ici


 


Et puis, du vrai vécu de bib, ça existe ! :wink:


 


Sinon, tu as aussi quelques vidéos (les trois premières)


  Bernard


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