Fitoune Posté(e) le 10 janvier 2014 Share Posté(e) le 10 janvier 2014 Nous envisageons d'éditer nous-mêmes nos codes-barre pour les documents.Cependant, comme nous venons de fusionner avec plusieurs autres sites et qu'il y aura désormais des acquisitions centralisées, nous souhaitons avoir un seul numéro médiathèque sur les codes-barre des documents.Ainsi, je souhaite savoir si, dans le code-barre des documents, la partie qui correspond à la médiathèque est attribuée par un organisme quelconque ou si le choix est parfaitement libre ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
B. Majour Posté(e) le 10 janvier 2014 Share Posté(e) le 10 janvier 2014 Bonjour D'après mes souvenirs de l'informatisation, il s'agit surtout d'avoir un code unique pour chaque livre. Donc utiliser les trois derniers chiffres du code de sa commune (Voir Wikipedia Code Commune) permet d'avoir un code-barre unique pour chaque document dans le département. Très utile dans un contexte multi-sites, multi-bibliothèques. Si on échange avec des communes hors région, on devrait pousser à 5 chiffres, pour être absolument sûr que le document emprunté et rendu par Monsieur X n'est pas celui emprunté par Mademoiselle Y. Sans quoi le logiciel pourrait dire que Mademoiselle Y a rendu son livre... lorsque ce n'est pas le cas. Voilà l'unique raison des trois derniers chiffres du code commune : l'unicité du document sur le territoire. Je conseille donc de garder cet identifiant, qui est unique à chaque commune.Le reste, en se gardant 6-7 chiffres permet de coter 9 999 999 documents, ce qui laisse du temps pour voir venir. 1000 acquisitions par an => 9 999 999 / 1000 = 9 999 ans de tranquillité. Si on rajoute des lettres (comme c'est le cas pour ma BDP, qui commence maintenant ses code-barres avec un C), ça multiplie les possibilités par 26. De quoi être vraiment tranquille très longtemps Sans cette lettre C, je me souviens avoir eu un chevauchement de numéro. J'ai donc rendu le livre aussitôt, car non empruntable. Bien cordialement B. Majour Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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