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Waterbear, SIGB gratuit en ligne


Anne Verneuil

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Bonjour,


 


on l'avait rapidement évoqué dans ce sujet. Il est développé par Quentin Chevillon, déjà auteur de Moccam, ce qui explique les interactions fortes entre les deux projets (ce qui peut être très intéressant pour la gestion des acquisitions)


Cela fait un moment qu'on parle de Sigb totalement en ligne. Je n'ai pas testé, mais je suis curieux de connaître la vélocité du système en prêt-retour, sur une base de donnée à distance, parce que s'il y a une seule fonctionnalité qui exige de la vitesse, c'est celle-là.


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Bonjour,


 


les SIGB "full web" existent depuis un moment déjà, aucun client installé en dur sur les postes, base de données à distance via une connexion internet.



Par contre, effectivement, le débit c'est de la nerf de la guerre mais généralement pour un SIGB c'est annoncé qu'il fait 120 ko/s pour que ça soit fluide, ça reste jouable même si on est pas en très haut débit et fibre optique.


 


Sinon je n'ai pas testé ce SIGB non plus, j'essaierai peut être de chez moi :) cataloguer mes livres... miam :)


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Les bibliothèques équipées de Rfid devront installer le serveur dans leur réseau interne, parce que cette technologie engendre vraiment un plus grand nombre d'échanges entre le poste de travail (fullweb ou pas) et la base de donnée. Elle est exigente en terme de fiabilité de la connexion pour le côté sécurisation des exemplaires.


Ceci dit quand on a les moyens de se payer la Rfid, un serveur local n'est pas un investissement lourd.


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Je vois pas bien la digression pour la RFID sauf si c'est pour dire que ça demande plus de débit internet, auquel cas, oui sûrement, je n'ai pas étudié la question.


 


Se payer un serveur local n'est pas un investissement lourd : ça dépend des collectivités, de l'existant et de la sécurisation que veut la DSI. Et même dans ce cas, si tu raisonnes à l'échelle d'une ville qui dispose d'un réseau internet, le serveur local peut changer quelque chose mais dans les réseaux étendus sur des communautés de communes ou des départements, il faudra de nouveau passer par internet sauf à ce que la communauté de commune relie tous ses établissements au réseau interne ce qui à mon avis est très rare.


 


De plus sur la problématique des serveurs en local, il faut voir quel dispositif de sauvegarde et de récupération peut assurer la DSI et si on veut que le SIGB soit interfaçé avec d'autres solutions pros type portail captif wifi, annuaire LDAP d'usagers ça devient plus dur de négocier avec les DSI par nature réticente à tout ce qui compromet leur bulle interne en l'ouvrant à l'extérieur.


 


En tout cas la vidéo est alléchante, auto complétion, gestion du transit, même outil SIGB / Portail, moissonage BnF


Par contre la géolocalisation des usagers me pose question, google maps est public certes mais a-t-on le droit de l'utiliser comme ça ? :)


 


Et ça n'a pas l'air très fin au niveau paramétrage (si je veux interdire à un utilisateur de créer de nouvelles entrées mot matière ?)


 


à creuser donc :)


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La question de la Rfid n'est pas une digression dans un contexte où la vitesse des transactions est importante, or la Rfid engendre plus de transactions que les codes-barres + tags magnétiques. Plus il y a d'échanges entre le poste de l'agent et la base de donnée distante, plus la connexion doit être rapide. Or sur Internet, c'est aléatoire.
Quant à la question du serveur local, c'est effectivement tout relatif. Je le redis : une collectivité qui peut se payer un système d'identification Rfid, peut déployer un serveur local avec toute l'infrastructure de session, de sauvegarde...

Dans les réseaux intercommunaux ou départementaux (ou même certaines grandes villes) où il est compliqué / hors de prix d'avoir des réseaux rapides et fiables, pour moi la question de bases de données décentralisées se pose toujours.

 

 

Par contre la géolocalisation des usagers me pose question, google maps est public certes mais a-t-on le droit de l'utiliser comme ça ? :)

Oui c'est une fonctionnalité qui pose question. Il faut que ça reste une information réservée aux bibliothécaires et anonyme : il ne faudrait pas que Google soit informée de l'inscription de telle personne et de son adresse. Ceci dit la fonctionnalité peut être très utile pour confronter avec une carte des densités d'habitat d'un territoire avec la répartition de nos inscrits.

 

 

Et ça n'a pas l'air très fin au niveau paramétrage (si je veux interdire à un utilisateur de créer de nouvelles entrées mot matière ?)

 

En tout cas il annonce en page d'accueil : Waterbear est sans doute le logiciel de bibliothèque le plus paramétrable du monde :blink:

 

Une fonctionnalité très intéressante, c'est la connexion avec Moccam : pour les acquisitions, le catalogage automatisé... (là pour le coup c'est une petite digression sur ce sujet) :wink:

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  • 3 weeks later...

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