petit renne Posté(e) le 29 mars 2018 Share Posté(e) le 29 mars 2018 Bonjour Je dois monter un projet tablettes et achat d'applications, je voulais savoir comment vous achetiez-vos applis et sur quelle ligne budgétaire les achetez-vous? Merci Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 29 mars 2018 Share Posté(e) le 29 mars 2018 (modifié) supprimé Modifié le 2 août 2019 par Ferris Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Isalabib Posté(e) le 30 mars 2018 Share Posté(e) le 30 mars 2018 sur "comment achetez-vous": on peut remonter qq vieux topics. Il me semble que la carte prépayée achetée sur bon de commande reste le moyen le + répandu. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 30 mars 2018 Share Posté(e) le 30 mars 2018 (modifié) supprimé Modifié le 2 août 2019 par Ferris Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
B. Majour Posté(e) le 31 mars 2018 Share Posté(e) le 31 mars 2018 Là, là, cette question Ferris. Jeux vidéo = logiciel (comme un logiciel Word, Excel, ou Office). Ce n'est que l'usage qui change, mais pas la fonction d'être un logiciel avant tout. (Encore que pour certains jeux, on pourrait les faire passer en oeuvre culturelle ou d'art) D'après https://www.collectivites-locales.gouv.fr/files/files/finances_locales/m14/m14_tome1_2014.pdf (page 27) Cas particulier des logiciels Leur comptabilisation diffère selon qu’ils sont « indissociés » ou « dissociés » Les logiciels dits « indissociés », parce que leur prix ne peut être distingué de celui du matériel informatique, suivent l’imputation comptable du matériel ; ils sont comptabilisés au compte 2183 « Matériel de bureau et matériel informatique » lorsque la collectivité en est propriétaire ou au compte 612 « Redevances de crédit-bail » dans le cadre d’un contrat de crédit-bail. Les logiciels « dissociés », c’est-à-dire ceux dont le prix peut être distingué du matériel informatique, sont traités différemment selon qu’ils sont acquis ou créés : - logiciel acquis en vue de son utilisation Le coût d’acquisition, obtenu en additionnant le prix convenu et les frais accessoires (charges directement ou indirectement liées à l’acquisition pour la mise en état d’utilisation du logiciel, avant de procéder à sa mise en exploitation, à l’exclusion notamment des frais de saisie des données à partir du lancement de l’exploitation), est comptabilisé au compte 205, dès son acquisition, par le crédit du compte 4041 « Fournisseurs d’immobilisations - Exercice courant ». - logiciel créé pour l’usage interne Le traitement comptable des dépenses, étape par étape, est le suivant : - les dépenses engagées lors de l’étude préalable doivent être inscrites dans les charges de l’exercice au cours duquel elles sont engagées et ne sont pas rattachées au coût de production ; - les frais d’analyse fonctionnelle (décomposition du traitement pour permettre sa mise en application informatique) sont exclus du coût de production du projet en cours. En revanche, sous réserve des rares exceptions dues à la non-viabilité du projet à ce stade, les frais d’analyse organique (application à l’analyse fonctionnelle des contraintes informatiques liées au matériel et au langage de programmation) y sont inclus. Par ailleurs, les frais de programmation, de tests et jeux d’essais sont toujours compris dans le coût de production du projet en cours. Les dépenses liées à la production du logiciel et qui ont été comptabilisées aux comptes de charges par nature, sont, à l’exception des dépenses engagées lors de l’étude préalable et de l’analyse fonctionnelle, portées par opération d’ordre budgétaire au débit du compte 232 « Immobilisations incorporelles en cours » par le crédit du compte 721 « Travaux en régie - immobilisations incorporelles ». En cas d’échec définitif du projet, le compte 232 est soldé par le débit du compte 193 « Autres différences sur réalisation d’immobilisations » par opération d’ordre non budgétaire selon la procédure de réforme d’un bien. Les dépenses relatives à la création d’un site Internet peuvent être assimilées à la réalisation d’un logiciel. Il en va ainsi pour les sites interactifs ayant pour fonction de présenter la commune, son action, ses interventions mais également de ceux conçus pour les besoins de la gestion (site Intranet…). Ces dépenses sont inscrites au compte 205 soit directement, soit par le crédit du compte 232, lorsque la commune réalise elle-même le site dans les conditions ci-dessus. Ces dépenses sont amorties sur leur durée probable d’utilisation à compter de la date d’achèvement du site. Autres tomes de la M14 disponibles sur le site. En version 2014. https://www.collectivites-locales.gouv.fr/files/files/finances_locales/m14/m14_tome2_2014.pdf https://www.collectivites-locales.gouv.fr/files/files/finances_locales/m14/m14_tome3_2014.pdf Pour répondre à la question sur les tablettes page 32 Le matériel de bureau et le matériel informatique (compte 2183) comprend les machines à écrire, machines comptables, ordinateurs, les logiciels indissociés (cf. commentaires du compte 205) etc. Donc les tablettes devraient suivre le même principe. A voir si c'est bien ça. Bernard Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 31 mars 2018 Share Posté(e) le 31 mars 2018 (modifié) supprimé Modifié le 2 août 2019 par Ferris Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
B. Majour Posté(e) le 31 mars 2018 Share Posté(e) le 31 mars 2018 Il y a 1 heure, Ferris a dit : Donc tu mets tout en investissement ? Là, je ne peux pas te répondre. Je ne suis pas assujetti à ce genre de problème comptable. (Ouf !) Par contre, pour le côté logiciels indissociés. Je pense qu'il doit s'agir des logiciels pré-installés. (Par exemple le système d'exploitation, une suite office déjà présente sur la machine. Tout ce qui est compris dans le package, et même des jeux livrés avec la carte vidéo) Pour le côté mise à jour, ce doit être un renouvellement effectivement. Car en réalité tu ne payes que la mise à jour de la base anti-virus et pas le logiciel déjà installé. C'est un peu comme un contrat de maintenance. Tu ne rachètes pas le logiciel, tu l'entretiens. Maintenant, si on se base sur le côté durabilité de la DAF, ce ne sera pas une opération en capital, puisque d'usage inférieur à 1 an. La ruse, c'est sans doute de prendre une licence pour deux-trois ans, au moins la première fois. Là on dépasse le critère d'un an. Si ça change vraiment quelque chose au niveau comptable. (D'après la question et la réponse de la DAF, ça semble être le cas.) Ce qui explique sans doute un peu mieux les contrats pour les photocopieurs de 2-3 ans. Mais là, ce ne sont que mes déductions. Bernard Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 31 mars 2018 Share Posté(e) le 31 mars 2018 (modifié) supprimé Modifié le 2 août 2019 par Ferris Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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