laura31 Posté(e) le 10 avril 2019 Share Posté(e) le 10 avril 2019 Bonjour à tous, Je suis étudiante en 2ème année de DUT et je suis actuellement en stage dont la mission est de mener une étude sur la pertinence de la création d'un fonds jeu (vidéo et société) à la médiathèque. Je voudrais mettre en place un questionnaire afin de connaître les besoins des usagers à ce sujet. Auriez-vous des questionnaires ou enquêtes sur ce sujet dont je pourrais m'inspirer? Ou des pistes pour le choix et la rédaction des questions? Merci ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
saida Posté(e) le 10 avril 2019 Share Posté(e) le 10 avril 2019 Bonjour as tu pris contact avec des médiathèques qui proposent ces services ? je pense que se sera plus intéressant que de t'envoyer des questionnaires que je trouve impersonnel cependant ils pourront complétés l'échange. bon courage et bonne continuation. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
laura31 Posté(e) le 10 avril 2019 Auteur Share Posté(e) le 10 avril 2019 (modifié) Je n'ai pas encore pris contact avec d'autres structures, mais j'ai l'intention de le faire! Merci beaucoup! Modifié le 10 avril 2019 par laura31 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 10 avril 2019 Share Posté(e) le 10 avril 2019 (modifié) Bonjour Laura, En attendant des retours directs tu peux consulter l'enquête de Sarah PERREAU " État des lieux et perspectives des jeux vidéo dans les bibliothèques de lecture publique" sur https://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/66791-etat-des-lieux-et-perspectives-des-jeux-video-dans-les-bibliotheques-de-lecture-publique.pdf. C'est très complet. De même En 2009, une commission « Jeux vidéo en bibliothèque » a été créée par l’Association des Bibliothécaires de France (ABF) en vue d’aider les établissements à s’approprier le support vidéoludique. Cette commission est à l’initiative de Jeux vidéo en bibliothèque publié en juin 2014. http://www.abf.asso.fr/4/140/437/ABF/commission-jeux-video-en-bibliotheque l'ABF avait adressé un questionnaire aux bibliothèques à ce sujet https://framaforms.org/panorama-du-jeu-video-1527769345 Enfin tu as une réponse ENSSIB sur la politique d'acquisition des jeux video en bibliothèque, avec pas mal de liens https://www.enssib.fr/services-et-ressources/questions-reponses/politique-dacquisition-jeux-video et le point sur les aspects juridiques notamment. Enfin la question des jeux en bibliothèque a été abordée sur le Forum https://www.agorabib.fr/topic/98-jeux-en-bibliothèque-quel-choix/ de 2013 à 2018, portant davantage sur l'aspect bibliothèque/ludothèque. Tu pourras contacter certains intervenants en MP. Modifié le 5 août 2019 par Ferris Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
laura31 Posté(e) le 10 avril 2019 Auteur Share Posté(e) le 10 avril 2019 Bonjour Ferris, Tout d'abord, merci beaucoup pour toutes ces références, elles me seront très utiles! Pour ce qui est du questionnaire, je vois tout à fait ce que vous voulez dire, cependant, comme vous le dites, avec toutes les références de support et de jeux, j'ai un peu peur de me perdre et de ne savoir quoi choisir. Cette idée de questionnaire était pour moi l'occasion d'avoir une idée de ce dont les usagers de la commune pourraient avoir envie et je pensais que cela pourrait me guider dans mes choix. N'est-il pas compliqué/risqué de mettre en place un nouveau fonds (quel qu'il soit) sans faire d'étude du public au préalable? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
B. Majour Posté(e) le 10 avril 2019 Share Posté(e) le 10 avril 2019 Il y a 5 heures, laura31 a dit : Je voudrais mettre en place un questionnaire afin de connaître les besoins des usagers à ce sujet. Auriez-vous des questionnaires ou enquêtes sur ce sujet dont je pourrais m'inspirer? Ou des pistes pour le choix et la rédaction des questions? Bonjour Laura31 Avant de te lancer, il faut d'abord te poser des questions à toi-même. (QQOQCCP) Qu'est-ce qu'un jeu pour toi ? Qu'est-ce qu'un jeu dans la réalité, où en vois-tu autour de toi ? Où en as-tu vu... durant toute ta vie ? A toi de lister tes occasions de jeux. Ensuite, tu regardes pour ta structure : Quels sont tes usagers ? Qui sont-ils ? Qu'est-ce qu'un jeu pour tes usagers ? (à décrire pour chaque tranche déterminée d'usagers) Quand jouent-ils ? Où jouent-ils ? Combien de fois ? Avec qui ? Pourquoi jouent-ils ? Une question souvent oubliée : comment jouent-ils ? => Qu'est-ce qu'ils attendent d'un jeu ? Une question qui peut/qui va cascader en : comment pourraient-ils jouer plus ? comment pourraient-ils jouer mieux ?... par le biais de ton offre de jeux. Pour t'aider, tu peux utiliser la piste suivante : http://www.creation-ludotheque.fr/blog/la-cohabitation-des-ludotheques-et-des-bibliotheques/ Exemple de publics (auxquels tu n'auras sans doute pas pensé) Les ludothécaires apportent un soutien à une multitude de professionnels, je ne vais en citer que quelques uns : - Puéricultrices, auxiliaires de puériculture, - Assistants maternels, parents, grands-parents (qui ont la garde d’enfants), - Éducateurs de jeunes enfants, éducateurs spécialisés, - Moniteurs éducateurs, animateurs, - Professeurs des écoles, instituteurs, enseignants spécialisés, ATSEM, - Travailleurs familiaux, -Psychologues, psychiatres, - Orthophonistes, psychomotriciens, psychopédagogues, ergothérapeutes, kiné…, - Médecins, pédiatres,… - Historiens du jeu, chercheurs, ethnologues, - Universitaires, étudiants, formateurs en RH, - Industriels, créateurs, artisans, commerciaux,… On rajoute ALSH, chômeurs, écoles, PMI, crèches.... et élus Ce qui devrait t'inviter à aller regarder dans les services concernés où le jeu est présent sur la commune. Si le jeux est déjà présent sur la commune, n'est-il par pertinent d'en fournir pour alimenter certains partenaires ? Car, ton but final, c'est quand même de convaincre les élus et/ou ta tutelle qu'il serait bon (ou pas, c'est un choix que tu devras déterminer) d'ouvrir un espace "jeux" Si tu regardes plus loin, tu as Une ludothèque, c’est une arme de paix dans un quartier, un outil de médiation formidable, un lieu sécurisant, un lieu de parole, un lieu de réconfort, un lieu de rencontre, un lieu de tolérance, un lieu de partage, un lieu de convivialité, un lieu de joie, un lieu de détente, un lieu de découverte, un lieu d’éducation, un lieu d’ouverture culturelle, ….etc… Comment peut-on encore aujourd’hui accorder aussi peu de crédibilité à ces structures qui portent à bout de bras toutes ces actions en faveur des populations ? Facile de poser la question à son public : pour vous une ludothèque, c'est (en prenant chaque terme) une arme de paix dans le quartier ? un outil de médiation formidable ? un lieu sécurisant ? un lieu de rencontre ? etc. Suivant les réponses obtenues, tu orienteras différemment les espaces et la collection.. Une autre piste, un rapport de l'IGB (évoqué dans l'article précédent) http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/file/2015/89/0/Le_jeu_dans_les_bibliotheques-igb_446890.pdf exemple de pertinence pour ouvrir une ludothèque Les publics exclus ou éloignés de la pratique de lecture Primo-arrivants ne maîtrisant pas le français, publics en marge, illettrés, isolés, exclus des pratiques culturelles légitimes, sont fréquemment ciblés. Le jeu suscite des échanges et facilite une mise en confiance de publics fragiles, pour lesquels, qu’ils soient enfants, jeunes ou adultes de tous âges, le livre ne constitue pas un support immédiat et la bibliothèque est un monde ignoré ou étranger sinon inquiétant, voire repoussant. Tu notes au passage le côté trans-générationnel. Ou trans-public - Bibliothèque de Conflans-Sainte-Honorine De nombreux établissements de la ville accueillent des handicapés mentaux et psychiques. Lors de soirées « jeux de société » organisées par la bibliothèque, ces établissements peuvent prévenir de leur venue: ce sont de petits groupes de 4 ou 5 personnes, accompagnés par deux personnes de l’établissement. La bibliothèque prévoit un agent supplémentaire pour une meilleure disponibilité afin d’accompagner, expliquer les règles etc. Ces séances sont très bien vécues, les personnes handicapées jouent en présence et parfois avec d’autres publics. - Médiathèque José Cabanis, Toulouse : « L’oeil et la lettre » Le département « L’oeil et la lettre » de cette médiathèque propose des jeux vidéo en direction des déficients visuels, des jeux sonores, des mallettes tactiles pour déficients visuels, utilisées aussi pour d’autres publics, avec un caractère ludique Conflans-Sainte-Honorine, Toulouse : deux médiathèques que tu peux contacter. Les bibliothèques proposant jeux et jeux vidéo observent un usage durable et souhaité par les enfants, y compris par des enfants en rupture ou semi-échec scolaire. Les enfants acceptent alors les conditions choisies par la bibliothèque (cadre collectif, animations programmées, durées limitées, exploration de nouveaux jeux peu connus (vidéo ou pas) …). Les bibliothèques contribuent à donner un cadre au jeu – spatial et temporel - cadre posé comme essentiel par J. Huizinga et R. Caillois. (P54) Des enfants absents de la bibliothèque... car la bibliothèque ne s'adressent pas à eux avec son offre "classique". Tu noteras alors le piège évident qui se présente ici : Toutefois, si cet objectif de conquête ou reconquête de publics est parfaitement justifié et se trouve fréquemment atteint, au moins partiellement, il ne serait pas souhaitable qu’il aboutisse à ce que la proposition de jeux, jouets ou jeux vidéo ne soit envisagée que sous l’angle d’un produit d’appel et que soient négligées ou ignorées les qualités intrinsèques des jeux, leur valeur, leur diversité et leur richesse propres. C'est un risque majeur : considérer le jeu comme un produit d'appel pour le reste de la structure. Alors que c'est un fonds à part entière, avec ses publics et ses actions spécifiques. Il est peu probable que cela te serve pour ton questionnaire... mais pour ton rapport de stage, ou pour une question du jury de soutenance. (Etablir un questionnaire, c'est aussi travailler son sujet en profondeur) Tout en bas de ce document, tu as la classification ESAR qui pourrait te donner des questions pour mesurer l'intérêt du public pour certains types de jeux plutôt que d'autres. Bien sûr, quelques exemples seront plus parlants. Pareil pour la catégorie des jeux vidéos. Eventuellement utiliser la charte des ludothécaires pour en tirer des questions. Exemple sur la partie 8 sur le fonctionnement. - Avoir des jours et heures d’ouverture réguliers adaptés aux publics visés et aux projets. => Quels horaires vous conviendrez le mieux ?- Avoir des tarifs (adhésion, prêt) accessibles à tous. => gratuité ou autre ?- Avoir des temps spécifiques et suffisants pour la sélection, la découverte, l’apprentissage, la préparation et la gestion du matériel ludique, l’aménagement des lieux… => quelles fréquences pour des périodes de découvertes ? partie 5 - Atelier de fabrication et de création de jeux. => souhaiteriez-vous participer à un atelier de fabrication et de création de jeux ? Maintenant, c'est à toi de décider des questions que tu vas poser. Pas trop long, pas trop court... et pour récupérer quelles informations ? Dans quels buts ? En ciblant tous les publics ou certains types de publics ? Même ceux qui ne viennent pas à la bibliothèque ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 10 avril 2019 Share Posté(e) le 10 avril 2019 (modifié) Le 10/04/2019 à 14:09, laura31 a dit : N'est-il pas compliqué/risqué de mettre en place un nouveau fonds (quel qu'il soit) sans faire d'étude du public au préalable? Si tu lis, vers la page 14/15 le mémoire de Sarah (qui date déja de 2015 et pourtant...) tu as des supports différents. Qui supporteront des jeux différents. C'est un peu la même problematique que ceux qui achètent une liseuse Kindle et s'aperçoivent après qu'ils ne pourront charger dessus que les auteurs qui ont signé chez Amazon. Tu as (ou avais en 2015, il faudra mettre à jour) La 3DS19 développée par Nintendo, La PlayStation Vita21développée par Sony, La PlayStation 422 développée par Sony (qui n'est même pas compatible avec les jeux de la PS3), La Xbox One23 développée par Microsoft, La Wii U24 développée par Nintendo, etc...(Tu as la liste des sites de ces developpeurs qui te donne les compatibilités). Pendant longtemps, le marché vidéoludique a reposé sur des jeux exclusifs à chaque plate-forme (Final Fantasy, Halo, Gears of War, Fable, les jeux des studios Quantic Dream et Naughty Dog, God of War, Alan Wake, Left 4 Dead, etc.). Ces exclusivités étaient très importantes car elles permettaient de valoriser et de faire le succès des différentes consoles. Selon ses goûts, le joueur pouvait aisément s’orienter sur PlayStation ou sur Xbox au vu des titres exclusifs. De nos jours, les véritables exclusivités se font de plus en plus rares, ce qui est assez intéressant pour toi. Autre évolution intéressante et à prendre en compte : Le jeu sur plates-formes mobiles et sur tablettes tient une part de plus en plus importante dans le chiffre d’affaires global de l’industrie vidéoludique. En 2014, sur les 1,7 milliard de joueurs mondiaux, 1,268 milliard jouaient sur téléphone et 527 millions sur tablette. Le jeu sur ces plates-formes est devenu plus important que le jeu sur consoles portables qui a obtenu, pour 2014, 280 millions de joueurs. La simplicité d’utilisation des smartphones et des tablettes a rendu les jeux vidéo accessibles aux publics non-initiés. Ton public, tu le vois comment : des initiés ou tout le monde ? On est au cœur du sujet. En gros sa conclusion c'est que Le phénomène de dématérialisation des jeux vidéo progresse de plus en plus dans le monde entier. En 2014, le chiffre d’affaires mondial du dématérialisé, dans sa globalité, était de 43,8 milliards d’euros34, soit plus de la moitié du chiffre d’affaires total des jeux vidéo35 . Avec des succès mondiaux tels que Candy Crush Saga, Clash of Clans, Farmville, Criminal Case et Angry Bird, les tablettes, les smartphones et les réseaux sociaux ont participé à démocratiser les jeux vidéo (...) Et là on parle democratisation, donc aussi de tes publics... Alors, consoles ou tablettes ? Tu vas devoir faire des choix techniques qui élargiront ou reduiront ton public, surtout certaines tranches d'âge. Certaines BDP prêtent encore une bonne vieille PS4 + ecran et tu achètes les jeux les plus en vogue. Mais ce modèle de support est sans doute déja périmé. Alors qu'au niveau des plateformes ça se bouscule au portillon : Les plates-formes en ligne qui proposent des jeux dématérialisés sont de plus en plus nombreuses. On peut citer : les plates-formes de diffusion en ligne (Steam, Metaboli, Direct2Drive, etc), les plates-formes des consoles (Xbox Live, PlayStation Network, Nintendo eShop, WiiWare), les plates-formes d’éditeurs (GOG de CD Projekt, Origin de Electronic Arts, uPlay de Ubisoft, Battle.net de Blizzard, etc.), les plates-formes des grandes firmes américaines (Google Play de Google, Apple Store de Apple, Amazon et Facebook). Lis bien ce mémoire, c'est une mine d'or, même si certaines données sont à actualiser (quoi qu'en 3 ans...) et sa méthodologie est remarquable. Ensuite teléphone à un collègue qui a fait son choix et tu comprendras mieux quelles sont les données à prendre en compte. Modifié le 5 août 2019 par Ferris Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Epsy Posté(e) le 12 avril 2019 Share Posté(e) le 12 avril 2019 Bonjour Laura, J'interviendrai ici sur le volet jeux vidéo, et non sur les jeux de société, et plutôt sur les animations (non pas sur le prêt). Mon premier conseil, avant toute élaboration de questionnaire : va voir les médiathèques qui en proposent, que ce soit en prêt ou en jeux sur place. Je ne sais pas si tu es joueuse toi-même, mais si tu ne l'es pas, l'appellation "jeux vidéo" couvre vraiment beaucoup de choses, comme l'a déjà un peu développé Ferris. D'autres paramètres seront à prendre en compte pour les jeux sur place : certaines consoles demandent des mises à jour récurrentes, comme la Xbox One, ce qui complique la mise à disposition et demande un gros suivi de la part des bibliothécaires en charge de l'animation ; idem pour les jeux sur PC, de type Fortnite, avec des mises à jour régulières et conséquentes (sans parler des jeux en réseau qui demandent une connexion solide pour les joueurs). De plus, il est souvent préférable d'avoir un lieu dédié pour l'animation jeux vidéo : lieu dédié pour ne pas avoir à installer à chaque fois les consoles, pour éviter également le bruit dans les autres espaces (notamment si on propose des jeux jouables à plusieurs localement, de type Fifa ou Smashbros). Et se posera la question de l'âge pour les jeux sur place : je fais comment si un gamin de 10 ans arrive lorsqu'il y a un ado de 17 ans qui joue à Detroit ou Resident Evil ? Attention donc à ne pas laisser croire aux publics qu'un espace jeux vidéo va émerger si la structure n'est pas en mesure d'accueillir tout ça. Un axe se développe de plus en plus : le rétrogaming, avec une offre de console que je qualifierais de remasterisée (type mini nes) et/ou la fabrication de sa propre borne d'arcade avec émulateur et tutti quanti (pour ma part, je suis un peu plus frileuse de ce côté-là, pour des questions de droit d'auteur, mais on m'a souvent dit que si on s'arrêtait à ça on ne faisait plus rien, pas même le prêt de CD, alors... !). Le 10/04/2019 à 19:45, Ferris a dit : De nos jours, les véritables exclusivités se font de plus en plus rares, ce qui est assez intéressant pour toi. Mmh oui et non : attention tout de même à Nintendo, qui garde étroitement ses exclus, qui marchent très bien auprès d'un public varié (Mario, Smashbros...). Enfin, je conclurai en disant qu'offrir les jeux attendus par les joueurs c'est très bien et ça permet d'amorcer le contact. Ensuite, c'est aussi à nous de proposer d'autres jeux moins médiatisés mais tout aussi bons / efficaces / chouettes. Un peu comme toute collection présente à la médiathèque : les jeunes doivent trouver Orelsan ou Black M mais peuvent aussi trouver Hippocampe fou ;-) Epsy. Ps : ah, je n'ai pas non plus évoqué les serious game ou les productions plus narratives de type "enterre-moi mon amour" et autres ! Tout dépendra de l'axe choisi, je dirais même... de votre politique documentaire. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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